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Accords franco-allemands sur les grands fonds

Comme nous l’annoncions dans notre édition du 9 octobre, la France et l’Allemagne ont conclu deux accords concernant l’exploration et l’exploitation des grands fonds marins. Alors qu’une déclaration d’intention a été paraphée par les autorités gouvernementales des deux pays, un MOU (Memorandum of Understanding) a été signé le 20 octobre, à Bremerhaven, entre les acteurs industriels français et allemands.

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Voie d’eau à bord de Safran

Après Maitre Coq puis Edmond de Rothschild, c’est au tour de Safran de rebrousser chemin dans la Transat Jacques Vabre. Morgan Lagravière et Nicolas Lunven ont fait demi-tour hier soir suite à une fissure constatée au niveau du foil tribord de leur monocoque Safran. Cette avarie qui a généré une voie d’eau ne permettait pas de continuer la course. Joint ce matin, le duo faisait route vers Brest où il est attendu dans la nuit. Morgan Lagravière, skipper de Safran : « La zone de foil est abîmée du côté tribord. Les dégâts se sont propagés autour de cette zone et de l’eau s’infiltre dans le bateau. Nous avons rapidement viré de bord pour mettre hors de l’eau la section de coque abîmée. Au moment de l’incident, les conditions étaient intenses mais pas extrêmes. Il y avait 25 noeuds de vent et 3 à 4 mètres de houle. Le terrain n’était pas particulièrement accidenté et nous n’avons pas entendu de bruit particulier. »

 

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Safran a abandonné suite à une voie d’eau

Après Maitre Coq puis Edmond de Rothschild, c’est au tour de Safran de jeter l’éponge dans la Transat Jacques Vabre. Morgan Lagravière et Nicolas Lunven ont en effet abandonné hier soir suite à une fissure constatée au niveau du foil tribord de leur monocoque Safran. Cette avarie qui a généré une voie d’eau ne permettait pas de continuer la course. Joint ce matin, le duo faisait route vers Brest où il est attendu dans la nuit. Morgan Lagravière, skipper de Safran : « La zone de foil est abîmée du côté tribord. Les dégâts se sont propagés autour de cette zone et de l’eau s’infiltre dans le bateau. Nous avons rapidement viré de bord pour mettre hors de l’eau la section de coque abîmée. Au moment de l’incident, les conditions étaient intenses mais pas extrêmes. Il y avait 25 noeuds de vent et 3 à 4 mètres de houle. Le terrain n’était pas particulièrement accidenté et nous n’avons pas entendu de bruit particulier. »

 

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