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Jean-Pierre Dick savoure

Toujours à la lutte pour le podium, Jean-Pierre Dick arrive néanmoins à mêler compétition et passion : « Ici, c’est juste magique, beau, enivrant, angoissant... Une sauvagerie superbe mais effrayante avec le risque de rencontrer des morceaux de glaces dérivantes. Tu as aussi la chance de croiser les animaux des mers australes. C’est un privilège rare ! »

Au moment d’entrer dans le troisième océan du Vendée Globe, le skipper de Virbac Paprec 3 livre son analyse sur cette nouvelle étape : « L’entrée dans le Pacifique à cette période de l’année est moins tempétueuse même s’il faut veiller aux grosses dépressions australiennes qui se jettent dans le Pacifique. La houle est longue et assez forte. Il y a moins de brouillard, c’est un peu plus prévisible que l’Indien. Le plus impressionnant ? Au milieu du Pacifique, tu es au milieu de nulle part à 3000 ou 4000 km de toutes côtes. »

Relai courtois de l\'article . Merci Vendée Globe
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